Les TGV Paris-Barcelone à 39 euros cet hiver

train espagne garde de sants

Bonne nouvelle pour les expatriés et autres voyageurs : les billets TGV InOui entre Paris et Barcelone, ainsi que Gérone et Figueres, sont proposés à partir de 39 euros, pour des trajets à effectuer entre mi-novembre et début février.

À quelques semaines de l’hiver, la SNCF remet en vente ses billets à prix réduits sur les liaisons internationales. Jusqu’au mardi 23 septembre, la campagne permet de réserver un trajet Paris-Barcelone en TGV InOui dès 39 €.

L’offre concerne les trains directs entre Paris et Barcelone, ainsi que vers Gérone et Figueres, pour des trajets à effectuer durant deux périodes précises :
– du 17 novembre au 14 décembre 2025
– du 12 janvier au 1er février 2026

Les prix d’appel commencent à 39 € pour un Paris-Barcelone, 49 € pour Paris-Gérone ou Paris-Figueres, en seconde classe. En première, les billets débutent à 49 € selon les destinations. Les billets sont disponibles uniquement sur le site SNCF Connect dans la limite des stocks proposés à ce tarif. Le trajet s’effectue sans correspondance, entre la gare de Sants à Barcelone et la gare de Lyon à Paris. Le tout en 6h40 environ.

Une ligne internationale de plus en plus prisée

Depuis son lancement en 2013, la liaison à grande vitesse entre la France et l’Espagne a trouvé son public. Moins contraignante que l’avion, la formule séduit aussi bien les touristes que les expatriés. Pas de navette ou de taxi vers l’aéroport, pas de passage aux contrôles de sécurité, ni frais additionnels pour les bagages : le train présente une simplicité logistique qui fait la différence, surtout pour les familles ou les voyageurs réguliers. Seul hic parfois : les tarifs. Cette fois, à moins de 80 euros l’aller-retour, le prix est imbattable.

Lire aussi : 10 bonnes raisons de se faire un TGV InOui Paris-Barcelone 

Cette vente flash s’inscrit dans le cadre d’une opération plus large baptisée « Les Jours Traincroyables », qui propose également des réductions sur d’autres destinations européennes : Allemagne, Italie, Suisse ou Luxembourg. L’objectif est clair : favoriser les déplacements transfrontaliers en train, à un moment où la question de l’impact écologique du transport aérien est de plus en plus posée.

 

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