Les pires (et plus drôles) anecdotes des restaurants en Espagne

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Soy Camarero publie sur les réseaux sociaux des situations drôles, voire absurdes, du quotidien des serveurs. À travers ses comptes, l’auteur Jesús Soriano dénonce également les abus dans le secteur en Espagne. 

Chaque métier apporte son lot de moments improbables, amusants et exaspérants. C’est ceux vécus par les serveurs que Jesús Soriano raconte depuis six ans à travers Soy Camarero, sur Twitter et Instagram, où il cumule plus de 500 000 abonnés, sans oublier TikTok et Facebook. L’Espagnol se fait le porte-parole des travailleurs des bars, restaurants et hôtels. À travers ses mèmes, les internautes découvrent des anecdotes du quotidien, du point de vue des serveurs, teintées d’humour et d’ironie. Florilège.

« Quand tu es au bar et que le client commence à me raconter sa vie  »

« Ce n’était pas la Sant Valentin pour tout le monde »

« Bonjour, c’est fermé ? »

« Sur le CV : je travaille bien sous pression. Moi travaillant aux heures de pointe : je les déteste tous »

Publications engagées

Serveur depuis vingt ans, le professionnel s’inspire des nombreuses situations qu’il a vécu. Soy Camero est aussi devenu un moyen de dénoncer les conditions de travail et les offres d’emploi d’entrepreneurs peu scrupuleux. Militant pour une meilleure reconnaissance de la profession, Jesús Soriano ne mâche pas ses mots. Soy Camarero a dépassé les frontières d’Internet, un livre illustré est sorti en 2020 aux éditions Grijalbo : Soy camarero. El cliente NO siempre tiene la razón. 

« Moi planifiant mon seul jour de libre »

« Le prix est de 5 euros de l’heure, la première heure est de formation (elle n’est pas payée), à partir de la seconde oui. Prends en compte que ce n’est pas un travail fixe, les extras sont demandés chaque semaine en fonction de la demande »

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